S’autoriser

S’autoriser

Newsletter n° 2 : S'autoriser

Après le changement, j’ai envie de partager avec vous sur le thème de s’autoriser.

S’autoriser, c’est prendre une place qu’on n’osait pas prendre jusque-là. C’est bêtement commencer par s’asseoir ; un fauteuil, une chaise, un coussin ou même un tapis à un endroit dans la maison dédié à cela. Bref, une place à vous, la fameuse, celle qui vous permet d’entendre ce qui vous anime. Un lieu intime et chaleureux qui vous ouvre les sens pour prêter attention à la voie en vous, celle qui vous rappelle votre rêve d’enfant, le pourquoi vous êtes venu sur Terre.

Les pratiques du yoga et le coaching m’aident à m’autoriser parce qu’elles créent un espace où je choisis. Je mets l’intention de m’aimer et d’aimer ceux qui sont là. Comme le disait Marianne Williamson : « Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inadéquats, notre peur la plus profonde est d’être puissants au-delà de toute limite. C’est notre lumière, pas notre part d’ombre, qui nous effraie le plus. Nous nous demandons, qui suis-je pour oser être brillant, magnifique, talentueux, fabuleux ? Mais en fait, qui suis-je pour ne pas l’être ? ». Notre éducation judéo-chrétienne nous a fondamentalement coupé de cela. Quel narcissique es-tu quand tu t’aimes ? Quel risque prends-tu quand tu félicites quelqu’un ? Alors qu’au fond quand je m’aime, j’aime tout. Quand j’arrive à me dire : « c’est bien, ou bravo !», j’arrive à le dire aux autres beaucoup plus facilement !

Si vous avez lu jusqu’ici, je vous invite à y réfléchir, à l’imaginer, à le percevoir.

Et si l’envie vous le dis, testez l’idée. Posez-vous. Autorisez-vous. Peut-être que dans un premier temps votre mental ne sera pas sympathique. Nous avons tant de choses à faire soi-disant plus importantes ! Mais avec un peu de patience, un nouvel espace apparait dans lequel j’aime me demander : « Et si mes erreurs n’étaient que des opportunités, quelles seraient-elles ? »
 
Un cercle vertueux
La méditation, c’est plonger dans un épais brouillard, il est d’abord difficile de voir. De nouveau la patience est indispensable car cela peut prendre plus ou moins de temps. Puis il se dissipe et une lumière apparait à travers les nuages. Une paix intérieure vous envahit peu à peu. Vous ne regrettez pas d’avoir franchi le pas. De cette paix, un nouveau dialogue s’installe, celui du cœur qui dit : « Pourquoi pas ! ». Voilà le début de l’autorisation. Votre place est prise et réservée dans la maison. Vous y retournez, pas tous les jours, mais quel bien-être de s’y rendre ! Cet endroit devient étonnant pour vous comme pour votre entourage. Vous l’aurez compris, cette place à la maison est votre forteresse. Vous l’avez toujours un peu en vous, bien sûr, mais d’y retourner vous fortifie. Néanmoins, plus vous l’oubliez, plus elle s’évapore. Le tout est de garder l’intention de s’autoriser. Cette discipline vous remplit, peu à peu, de joie.
 
Et là, la vie commence à changer de couleurs ou peut être changez-vous simplement de lunettes ! Qui sait ?

Si les premières fois, l’étape de s’asseoir seul est trop remplie de résistance, n’hésitez pas à me contacter pour une guidance ou quelques astuces. Je vous les partagerais avec joie !

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